Jean-Paul ROUAUD

a fait des études aux Arts Appliqués à Paris, de 1961 à 1965, où il pratique toutes les techniques de dessin de peinture et de sculpture.

Il complète cette formation aux Beaux Arts de Paris, à l’atelier fresque de Bertholle de 1966 à 1969..

Parallèlement à cette formation de plasticien il s’intéresse à la facture musicale et à la lutherie et s’installe à Paris comme facteur de clavecins dès 1970, activité qu’il poursuivra tout au long de sa vie jusqu’à aujourd’hui, avec un succès persistant.


Sa peinture, pratique qu'il a toujours poursuivie avec passion, traduit un amour pour la réalité, pour la figure humaine, pour la nature .

En effet, le sujet reste toujours ce qu'on voit, depuis la nuit des temps, mais il demeure indispensable pour générer une émotion forte à laquelle l'artiste donnera des formes nouvelles. 

« Le problème principal lorsqu'on est artiste c'est d'arriver à faire quelque chose qu'on voit avec son instinct.. ».. a dit Francis Bacon dans une interview.. » et il ajoutait: 

« l'abstraction est  une solution de facilité ,une simplification de la tension qui existe entre la matière et le sujet ».

Pour J.P. Rouaud , la peinture reste l'unique moyen de traduire son émotion propre devant la vie, et il le fait avec une écriture particulière, rythmée, légère ou nerveuse, allusive ou appuyée.

Il préfère travailler à l'acrylique sur papier, en laissant le papier apparaître, jouer son rôle....


Les œuvres exposées aujourd’hui, très récentes, témoignent d’un retour à la vraie peinture, quelque chose au plus près de l'instinct, capable de réveiller l'émotion chez celui qui les regarde.

Jean-Paul ROUAUD

a fait des études aux Arts Appliqués à Paris, de 1961 à 1965, où il pratique toutes les techniques de dessin de peinture et de sculpture.

Il complète cette formation aux Beaux Arts de Paris, à l’atelier fresque de Bertholle de 1966 à 1969..

Parallèlement à cette formation de plasticien il s’intéresse à la facture musicale et à la lutherie et s’installe à Paris comme facteur de clavecins dès 1970, activité qu’il poursuivra tout au long de sa vie jusqu’à aujourd’hui, avec un succès persistant.


Sa peinture, pratique qu'il a toujours poursuivie avec passion, traduit un amour pour la réalité, pour la figure humaine, pour la nature .

En effet, le sujet reste toujours ce qu'on voit, depuis la nuit des temps, mais il demeure indispensable pour générer une émotion forte à laquelle l'artiste donnera des formes nouvelles. 

« Le problème principal lorsqu'on est artiste c'est d'arriver à faire quelque chose qu'on voit avec son instinct.. ».. a dit Francis Bacon dans une interview.. » et il ajoutait: 

« l'abstraction est  une solution de facilité ,une simplification de la tension qui existe entre la matière et le sujet ».

Pour J.P. Rouaud , la peinture reste l'unique moyen de traduire son émotion propre devant la vie, et il le fait avec une écriture particulière, rythmée, légère ou nerveuse, allusive ou appuyée.

Il préfère travailler à l'acrylique sur papier, en laissant le papier apparaître, jouer son rôle....


Les œuvres exposées aujourd’hui, très récentes, témoignent d’un retour à la vraie peinture, quelque chose au plus près de l'instinct, capable de réveiller l'émotion chez celui qui les regarde.